20/01/2007

Big-bang et bible.

Il y avait des ténèbres à la surface de la terre…

Et la lumière fut…

Dieu appela la lumière jour…il y eut un soir, il y eut un matin…

Qu’il y ait une étendue entre les eaux…

Que les eaux qui sont en dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec apparaisse…

La terre produisit de la verdure…

Qu’il y ait des luminaires dans l‘étendue du ciel pour séparer le jour de la nuit…le plus grand pour présider au jour, et le plus petit pour présider la nuit ; il fit aussi les étoiles…

Même si l’on ne croit pas, que l’on doute, ce ne peut pas être par hasard que les choses se présentent dans le bon ordre.

Il suffit de faire abstraction de la présence de Dieu pour se retrouver. Bien sûr le vieux débat entre l’évolutionnisme et le créationnisme, et celui entre les croyants et les athées aussi restera en toile de fond.

Bien sur dans l’extrait présenté j’ai élagué les redondances, notamment à dieu. Si vous préférez relisez le texte intégral en pensant science chaque fois le mot dieu apparaît.

Moi, quand je lis c’est pour savoir ce qu’il y a d’intéressant dans un texte, et pas pour savoir ce qui est inutile, que les critiques invétérés s’abstienne de s’insurger et de répondre avant de relire la genèse sans réfléchir, je les classe avec les snobs et les pédants.

Dans les très grandes lignes je ne vois rien d’important qui contredise le big-bang :

D’abord un monde informe et vide et des ténèbres, puis la lumière, le soir et le matin, le jour et la nuit, quelle différence ?

Les eaux du ciel et celles de la terre qui se distinguent, quoi de plus normal ? L’origine de l’eau n’est pas encore clairement établie entre la chute des comètes ou la séparation spontanée du substrat rocheux.

Les eaux qui se rassemblent en un seul lieu et le sec qui paraît, n’est ce pas l’émergence de la Pangée qui se pointe ?

La verdure, terme équivalent à végétation, aussi bien les algues que le gazon ou les fruitiers, voir la page Darwin.

Pour un texte d’une telle ancienneté, c’est tout de même un modèle de précision.

Qui précède largement l’astronomie et la géologie actuelle, à méditer.

Le seul débat qui demeure est la définition de Dieu, il existe d’autres sites à consulter.

A consulter « La genèse et l’évolutionnisme », sur le même blog.

Alex

Darwin et Génèse

Genèse

Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres portant des fruits selon leur espère et ayant en eu leur semence sur la terre…

Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que les oiseaux volent…

Les grands poissons et tous les animaux…

Du bétail, des reptiles, des animaux terrestres…

Puis Dieu dit : Faisons l’homme…

Même si l’on ne croit pas, que l’on doute, ce ne peut pas être par hasard que les choses se présentent dans le bon ordre.

Il suffit de faire abstraction de la présence de Dieu pour se retrouver.

Bien sur le vieux débat entre l’évolutionnisme et le créationnisme restera en toile de fond.

Bien sur dans l’extrait présenté j’ai élagué les redondances, notamment à dieu.

Si vous préférez relisez le texte intégral en pensant science chaque fois le mot dieu apparaît.

Moi, quand je lis c’est pour savoir ce qu’il y a d’intéressant dans un texte, et pas pour savoir ce qui est inutile, que les critiques invétérés s’abstienne de s’insurger et de répondre avant de relire la genèse sans réfléchir, je les classe avec les snobs et les pédants.

D’abord la verdure, terme équivalent à végétation, aussi bien les algues que le gazon ou les fruitiers.

L’herbe portant semence, les arbres portants des fruits.

Ceci dit les dernières recherchent s’interrogent pour savoir si certains arbres n’auraient pas précédé certaines autres plantes, adaptation des plantes à la floraison à la suite du développement des insectes.

Signalement de l’importance de l’eau dans le processus.

A mon avis deux inversions incongrues, citer les oiseaux avant les poissons, le bétail avant les reptiles.

Enfin l’homme.

Pour un texte d’une telle ancienneté, c’est tout de même une modèle précision.

Qui précède largement Darwin, derrière lequel de trop nombreux évolutionnistes se cachent.

Le seul débat qui demeure est la définition de Dieu, il existe d’autres sites à consulter.

A consulter La genèse et le Big-bang,

Alex

01/01/2007

Transmission de pensée

Au sujet du voyage Astral

Bonjour à tous les illuminés.

Comme je le suis de temps en temps, je peu en parler en connaissance de cause.

Très jeune, j’ai fait des rêves bizarres, plusieurs fois les mêmes et c’est pour cela qu’ils se sont gravés dans ma mémoire et que je les différemment que les autres, et encore je ne me souviens quasiment de ce que je rêve, il semble que ce soit en rapport avec les phases de sommeil profonds ou paradoxal au moment du réveil.

Dans le premier je volai, dans un paysage vallonné, verdoyant, l’envol quasiment pas perçu, ni l’atterrissage ni le crash, je souviens d’une crainte légère, fugace, un peu comme celle qu’on éprouve pour monter sur un vélo, et aussitôt oubliée. Toujours le même paysage, ou si peu différent, mais aussi de plus haut, sans la moindre sensation d’effort, sans avoir à battre des ailes ni à naviguer, comme au passage d’une barre, ou au détour d’un virage on se retrouve avec une vue plus dégagée. Impossible de dire si cela dure une minute ou une heure.

Je crois avoir retrouvé ce paysage, à jurer que ce soit vrai, prés d’un lieu que je fréquentais alors occasionnellement, et sans être allé jusqu’au bout du parcours. Revu, oui, 40 ans plus tard.

Dans le deuxième une sensation comme un léger vertige, comme à se balancer dans un hamac, une sensation de trouble de ne plus savoir si le support existe, de perdre pied, d’un faux pas, d’une chute bénigne. Pas grave, ni heurt, ni choc.

Depuis j’ai appris que tout cela correspondait parfaitement aux symptômes du voyage astral que décrivent les indous ou les Tibétains.

Dans le troisième je suis debout, il fait nuit, je n’ai pas peur, pas plus là que dans le réel, un bruit d’eau qui coule naît puis grandit, comme un ruisseau, une cascade, comme une chute d’eau puissante. Le lieu résonne de ce bruit qui enfle, là encore rien ne se passe, le rêve s’évanoui.

J’adore les caves, les puits, les grottes, la nuit, je m’y sens en sécurité, ensuite j’ai pratiqué la spéléo, à une époque où je n’avais pas le temps de rêver, ni de penser, ni d’écrire. Dans cette situation je me suis trouvé souvent confronté à mon rêve. Est-ce de la prémonition ? Possible.

Dans le 4° et dernier à pouvoir avoir une signification, par son intensité et sa répétition, je vois un scorpion, énorme, colossal, perçu ainsi et comme vous le verriez dans une macro en gros plan. Il vient vers moi, la première fois c’est presque un cauchemar, je n’ai jamais vu de scorpion, mais il ne m’atteint jamais, ensuite je n’ai pas la moindre crainte, seulement de la curiosité.

Mais pourquoi un scorpion, j’attends toujours, bien sûr plus tard j’en ai vu, j’ai même joué avec, jeu de gosse, tracez un cercle, mettez à l’intérieur l’animal, un escargot, une fourmi, un scarabée, un scorpion et parier, le premier qui passe la ligne gagne. Avec un cheval et un jockey on parle de tierce. J’aime moins. Bon j’attends toujours mon ticket scorpion, celui qui aura une signification dans ma vie.

Ceci dans toutes les expériences que je décris, je me place dans un des canons du genre, mais sans convictions, ici s’agit-il vraiment de voyage astral ou de prémonition, de voyance, d’influence des esprits, de transmission de pensée ?

Les assertions sont identiques, sous un autre vocabulaire, dans les cultes animistes et vaudous, chez les marabouts et les griots conteurs, dans les transes ou le temps des rêves par les aborigènes.

Inspiration déco, peinture à la chaud, 2004, par l’auteur.

Des appels surprenants.

Des comportements étonnants.

Venus du zénith ?

Adolescent j’entendais quelquefois mon prénom, appel sonore et retentissant, sans qu’il y ait personne autour de moi. Cela a du se produire une centaine de fois au moins.

Souvent aussi, sans la moindre raison, je me dirigeais vers la fenêtre à l’instant ou une personne de ma connaissance passait dans la rue. Hors de mes habitudes qui n’étaient pas de surveiller les passants, teen-ager j’avais bien autre chose à faire.

Lorsque je me promenais, j’avais quelquefois l’impression d’être suivi ou épié et effectivement en me retournant, vivement ou sournoisement pour vérifier cela se confirmais.

A contrario, il m’arrivait de suivre des inconnus, fortuitement, et si mon regard ou mes pensées s’y attachaient, sur un détail physique, de comportement, ou autre, ceux-ci avaient quelquefois des réactions bizarres, la première étant de se retourner. Comme moi ! J’ai poussé souvent l’expérience jusqu’au jeu du mime, avec des réactions encore plus incongrues. Au maximum jusqu'à m’essayer à influencer « mon sujet » cela fonctionne une fois sur cent !

Souvent jadis, et cela se reproduit encore lorsque je vais voir quelqu’un, que j’ai rendez-vous ou non, au dernier moment je bifurque, je me dis « tiens, je vais passer par là » et hasard sublime, je rejoins la personne attendue, à qui bien sur je n’en dis rien.

Tous cela m’incite à croire que la transmission de pensée n’est pas une totale utopie. Toutefois je suis si réticent que quand j’ai un message à faire passer je préfère le courrier, le téléphone, le mail... et mon blog.

Dans mes grandes questions sur l’histoire des civilisations, s’il est crédible qu’une nouvelle circule autour de la planète en moins de mille ans, la coïncidence sur cinq continents des inventions de l’agriculture, de l’élevage, du culte des pierres levées, des céramiques, des constructions de monuments plus symboliques qu’utilitaires, ainsi que de notions socioculturelles et religieuses à l’égal du culte des morts me laisse extrêmement perplexe.

Serait-une preuve de la transmission de pensée par la bande ?

De l’Asie à l’Europe via l’Afrique, terre supposée des origines de l’homme, soit. La communication directe multiple et répétée avec les Amériques est en contradiction totale avec l’archéologie. Même si l’on tient compte d’une récente polémique sur une possible migration trans-pacifique, ne serait-elle du qu’à des pécheurs en perditions et chevronnés pour survivre, il faudrait que cela ait eut lieu à maintes reprises en un temps où la navigation dépendait d’une pirogue ou d’un radeau, ou miser encore une fois sur l’Arche de Noé, en plusieurs exemplaires.

Une voie de recherche pour un archéologue spirite.

Inspiration d’artiste 2004, un épi de mais.

A la recherche d’un ticket.

En ce temps-la, je n’avais absolument aucune connaissance en parapsychologie, nul autour de moi ne semblais s’y intéresser, sous réserve de ma grand-mère qui était plus ou moins guérisseuse, j’en parlerais ailleurs, pour moi cela n’avais aucun rapport.

Pour aller à l’école je prenais le bus, le trolley en fait, tous les jours. Par hasard, une fois, deux, dix, je « vois » et je ramasse un ticket de bus vierge, donc utilisable. D’un grand intérêt pour moi, déjà j’allai à pied 3 ou 4 fois par semaine pour aller au cinéma le samedi, sans le dire à ma mère, c’était mon argent de poche.

A l’époque les tickets chez nous étais imprimés pour validation, donc reconnaissables, mais j’en ai retrouvé ensuite plus de cents, par jeu et par intérêt. Et il s’agissait chaque fois d’en retrouver un sur cent ou deux cents, parmi ceux éparpillés sur le trottoir en un ou cinq minutes, sans les lire tous.

Maintenant je me rends compte que le hasard fit trop bien les choses.

Ha, si j’avais la même chance pour jouer au loto !

Cela vous est-il déjà arrivé ?

L’influence tardive de ma grand-mère.

Témoignage sur les guérisseurs.

Je n’avais que onze ans quand elle est morte tous simplement, en se couchant le soir et en oubliant de se réveiller le matin. Elle n’a pas eu le temps de m’initier à quoi que ce soit. Elle guérissait les gens des insolations, même à distance, avec le prénom et la date de naissance, en récitant des prières et avec un cérémonial. Et quelques autres maladies auxquelles je ne comprenais rien, sinon quelle disait quelquefois et à peu prés « celui-là n’avait besoin de rien sinon qu’on l’écoute », c’étais loin d’être un industrie, un ou deux clients par semaine, elle avait un autre métier.

De l’insolation je me rappelle parce qu’elle m’a guérit et que cela ne m’est plus jamais arrivé ensuite, je connais d’autre personne qui ont essayé et réussi. Depuis donc je crois à d’autres possibles dans certains domaines, quand bien même il a 99% de charlatan.

J’ai connu une autre personne qui avait des dons particuliers, différents, mais ne s’en servait jamais, cela le perturbait ou l’épuisait.

Deux vrais sourciers aussi, sans compter plusieurs témoignages pour confirmer ce don. Il faut au moins cela pour accepter de croire à d’autres possibilités spirites.

Plus tard j’ai beaucoup lu, sur la parapsychologie.

J’ai reçu divers témoignages, d’amis proches, ou occasionnels.

Depuis « Le matin des magiciens » les parutions sont nombreuses et avant cela les déclarations de sociétés spirites ne manquaient pas.

Plus récemment j’ai vécu des expériences plus fortes.

Mais aussi plus contestables et souvent vaines, vide de sens.

Du point de vue de la science il s’agit bien d’autosuggestion, d’hallucinations. C’est vrai et je ne le conteste pas. Comme eux si je montais sur une balance et qu’elle me dise que je pèse plus ou moins lourd que d’habitude, je critiquerais l’outil plutôt que de croire à la lévitation, alors comment le reprocher à ceux à qui ce n’est jamais arrivé ?

A suivre, Expériences Exploratoires.